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La Neuveville, le 27 mars 2022
Anne-Caroline Graber
Je m’appelle Anne-Caroline Graber et vous invite à découvrir le site que j’ai élaboré pour faire connaître au public le plus large possible ma candidature au Grand Conseil bernois, ma personnalité et les motivations qui m’encouragent à briguer à nouveau une charge publique importante.
Docteure en sciences politiques de l’Université de Neuchâtel et diplômée de l’Institut universitaire de hautes études internationales de Genève, je pense disposer d’une bonne et ample formation pour embrasser une carrière politique.
Mais la culture politique ne suffira jamais à faire d’une femme ou d’un homme un bon politicien ou une bonne politicienne. Seul le sens du bien commun nourri par une empathie pour autrui permet à une personne d’assumer des mandats publics au profit de l’ensemble de la population, pour contribuer à la recherche des solutions les meilleures et pour enrichir le débat démocratique.
Ma personnalité, ma pensée et mes expériences m’incitent à m’engager dans cet esprit.
Mes convictions politiques sont imprégnées par le libéralisme politique classique mais aussi par les valeurs judéo-chrétiennes et le souci des plus défavorisés.
Merci, chère lectrice et cher lecteur, de prendre connaissance de mon site et bonne chance pour la suite de votre vie !
Actualité politique sur facebook et twitter :
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photo: Stéphane Gerber
Mars 2014 Un immense merci à vous toutes et à vous tous qui m’avez accordé vos suffrages et permis d’obtenir un score exceptionnel au Grand Conseil! Je vous suis très reconnaissante pour votre soutien politique. Je mettrai tout en oeuvre pour servir la population du Jura bernois et de notre canton!
Vidéo de mon discours au Grand Conseil du 28.01.2013 sur l’avenir institutionnel du Jura bernois (TeleBielingue) :
Cliquer ici → 28jan13-MPEG-4
Article de Michel Guillaume, L’Hebdo
Parole de Jurassiens: Anne-Caroline Graber, députée UDC au Grand Conseil bernois
© DR
Michel Guillaume
Elle court, elle court, Anne-Caroline Graber (37 ans). Comme son père, l’ancien conseiller national, elle court pour que son Jura demeure bernois. Cette députée UDC au Grand Conseil bernois et adepte passionnée de course à pied n’est pas peu fière d’avoir été légèrement plus rapide que le maire de Moutier Maxime Zuber lors du dernier Grand Prix de Berne.
Dans les sondages du Journal du Jura, sa cause fait aussi la course en tête, dans le Sud s’entend. Le deuxième d’entre eux, publié voici une semaine, montrait que le «non» avait encore progressé dans le Jura bernois, grimpant à 60% contre 24% de «oui». Elle s’en réjouit: «La majeure partie des gens d’ici se sentent bien dans le canton de Berne. Pour eux, la Question jurassienne ne se pose plus».
Il faut dire qu’à La Neuveville, le débat n’a jamais suscité les mêmes passions qu’à Moutier, voire Courtelary. La petite bourgade de 5′000 habitants au bord du lac de Bienne est un endroit à part, séparée par le Chasseral du reste du Jura bernois. «C’est un petit Monaco, un joyau entouré de frontières linguistiques, culturelles et géographiques», relève celle qui enseigne désormais à l’Ecole supérieure de commerce.
Elle est étonnante, Anne-Caroline Graber! On aurait pu croire cette docteure (avec un «e» à la fin, elle est née un 8 mars) en sciences politiques et titulaire d’un diplôme de l’Institut de hautes études internationales (IUHEI) de Genève prête à partir à la conquête du monde, ou du moins de l’Europe. Son travail de doctorat, consacré à Denis de Rougemont, a été publié aux Editions Slatkine et son mémoire post-grade de l’IUHEI, traitant du processus d’intégration européenne, a même reçu un prix de la Fondation Arditi. Mais non! La voilà qui s’engage à l’UDC – comme son père – pour siéger d’abord au sein du Conseil du Jura bernois (CJB), puis au Grand Conseil bernois.
Elle le dit sans ambages: elle aurait même préféré qu’il n’y eût pas de vote du tout. Selon elle, le combat est inégal. Ainsi, seules les communes du Jura bernois ayant voté «oui» peuvent demander leur attachement au nouveau canton. Mais l’inverse n’est pas possible. Au Grand Conseil, elle s’est battue pour corriger cette «asymétrie» démocratique, mais le parlement bernois ne l’a pas suivie.
Ces derniers mois, Anne-Caroline Graber s’est beaucoup insurgée à propos de l’entrée en campagne du gouvernement jurassien, qui a publié un rapport concluant au fait que le Jura s’était mieux développé ces trente dernières années que le Jura bernois. «Un document qui révèle bien l’attitude de supériorité du gouvernement jurassien. Au sein d’une assemblée constituante, il serait impossible de dialoguer d’égal à égal», assure-t-elle.
En revanche, la députée bernoise note avec satisfaction que les séparatistes ont abandonné leur discours ethnique. Et pour cause : « Le Jura a pris conscience qu’il est très proche de l’agglomération bâloise et même qu’il en dépend ». Ces derniers temps, il s’est donc plutôt éloigné que rapproché du Jura bernois.
Dans ces conditions, les deux voisins poursuivront quelques collaborations ponctuelles, sans plus. Faire chambre à part, voilà qui convient tout à fait au Jura bernois.